Protéine Spike, bon à savoir

 

Par Roxana Bruno, Biochimiste, Docteur en Inmunologie.

Une étonnante ressemblance entre les syncitines humaines et la protéine spike du sars-cov-2. Pourquoi les vac cins contre le covid-19 pourraient affecter la fertilité.

Résumé

Les vaccins contre la COVID-19 introduisent la protéine spike (S) du virus SARS-CoV-2 comme étant un supposé antigène pour déclencher la réponse immunitaire, qui partage une forte similitude génétique et protéique avec deux protéines humaines, la Syncitine-1 et la Syncitine-2.

Les syncitines humaines

Les syncytines humaines sont le produit d’expression des gènes de l’enveloppe (Env) des rétrovirus endogènes humains (HERV): ce sont des protéines qui régulent la fusion entre les cellules et ont des propriétés immunosuppressives.

Les syncytines s’expriment de manière physiologique pendant la grossesse: elles interviennent dans le développement du placenta, la différenciation du trophoblaste, l’implantation de l’embryon dans l’utérus et l’immunosuppression du système immunitaire de la mère pour empêcher le rejet allogénique de l’embryon.

En raison de la ressemblance entre les syncytines et la protéine spike du SRAS-CoV-2, les anticorps induits par l’un des vaccins contre la COVID-19 pourraient déclencher une réaction croisée contre les syncytines, entraînant des effets secondaires allergiques, cytotoxiques et/ou auto-immune qui affecteraient la santé et la reproduction humaine.

 

Les vaccins ARNm ont la capacité potentielle de modifier l’ADN humain

Les vaccins ARNm ont la capacité potentielle de modifier l’ADN humain par le mécanisme de silence génétique facilité par les ARN d’interférence. En utilisant des oligonucléotides anti-sens inhibiteurs, le gène de la syncytine a pu être silencié. Lorsque l’ARNm du gène ou la quantité de protéine syncytine diminue se produisent de graves défauts du placenta, une mauvaise différenciation du trophoblaste humain et un dysfonctionnement vasculaire placentaire, entraînant la fin de la gestation.

Éthique des fabricants de ces vaccins

Les entreprises qui mettent au point les vaccins contre la COVID-19 n’agissent pas de manière éthique ou responsable, parce qu’elles ne réalisent pas les études de sécurité sur les modèles animaux appropriés, elles ne respectent pas les délais nécessaires pour détecter les effets indésirables à moyen et à long terme et qu’elles ne fourniront pas d’informations sur la composition réelle,  celle qu’ils considèrent comme «confidentielle».

Les volontaires ne sont pas correctement informés de tous les risques liés à la vaccination. En avançant et en raccourcissant les phases expérimentales, les entreprises transfèrent le risque des animaux à l’homme, en utilisant les gens comme modèles de défi animal.

Les conséquences de l’inoculation de gènes étrangers avec les vaccins contre la COVID-19 peuvent s’avérer catastrophiques pour le destin de l’humanité, si l’on tient compte du rôle des protéines d’enveloppe HERV (syncitines) dans la physiologie humaine et de leurs effets pathogènes potentiels sur divers cancers et troubles auto-immunes.

La similitude étonnante entre les protéines rétrovirales humaines endogènes et la protéine Spike du SRAS-COV-2.

Plusieurs voix qualifiées de chercheurs scientifiques et médicaux mettent en garde la communauté internationale contre le danger que représentent les vaccins contre la COVID-19 et demandent aux autorités d’arrêter immédiatement les essais cliniques de phase III des vaccins contenant de l’ARNm de la protéine Spike du virus SARS-CoV-21, 2 .

L’une des raisons de cette demande urgente est que la protéine S, contre laquelle les fabricants de vaccins sont en concurrence pour développer un vaccin, présente une grande similitude génétique et protéique (c’est-à-dire qu’elle est très homologue dans la séquence des nucléotides et des acides aminés) avec deux protéines humaines codées par des gènes situés sur les chromosomes 7 et 6,  dénommés Syncitine-1 et Syncitine-2, respectivement. (Figure 1)

 



Figure 1: La glycoprotéine spike du SRAS-CoV-2 partage une grande similitude protéique dans la séquence des acides aminés avec la protéine humaine Syncitine-1.

La Syncytine-1 est la protéine de l’enveloppe du rétrovirus W humain endogène (HERV-W), dont la fonction est nécessaire pendant la grossesse pour permettre le développement du placenta et la différenciation du trophoblaste 3,car elle intervient dans la fusion des cellules placentaires et permet l’implantation de l’embryon dans l’utérus 4.

La Syncitine-2 est la protéine de l’enveloppe d’un autre membre de la famille HERV (HERV-FRD) et est également hautement présente dans le placenta humain 5. Bien que les deux syncytines 1 et 2 soient des protéines qui facilitent la fusion cellule-cellule des cytotrophoblastes pour permettre la formation de la couche multinucléée du syncytiotrophoblaste pendant le développement placentaire, la Syncytine-2 (mais pas la Syncytine – 1) possède en outre une activité immunosuppressive par laquelle elle parvient à rendre invisible le fœtus devant le système immunitaire de la mère, empêchant ainsi le rejet allogénique, l’embryon étant un être humain unique et unique et génétiquement différent de la mère  6.

La similitude qui existe entre la structure des syncitines et la protéine Spike du virus SARS-Cov-2 est vraiment stupéfiante. La protéine des syncytines matures (protéine de l’enveloppe, Env, des rétrovirus endogènes humains, HERV) est composée d’un trimère d’hétérodimères de deux sous-unités, S1 et S2, reliées par une liaison disulfure labile entre les deux chaînes, qui se scinde par Furina après la liaison de S1 au récepteur 7, 8, 9

La structure des syncitines est la même que celle décrite pour la protéine Spike du SRAS-CoV-2. La sous-unité S1 de la pointe se lie au récepteur, puis la séparation entre les deux – la coupure effectuée par l’enzyme Furine des sous-unités S1 et S2 – permet l’entrée du virus dans les cellules10.

Etonnament, le virus SARS-CoV-2 présente également des séquences identiques aux syncitines qui lui confèrent une activité d’immunosuppresseur 11,avec laquelle le virus parvient à devenir «invisible» au système immunitaire de la personne infectée.

Pourquoi les vaccins contre le COVID-19 pourraient-ils affecter la fertilité humaine?

En premier lieu, les vaccins expérimentaux contre la COVID-19 pourraient affecter la fertilité humaine en raison de la forte ressemblance entre les syncitines et la protéine spike du SRAS-CoV-2 11.

Nous ne savons pas encore si les anticorps générés par l’action de la vaccination contre la COVID-19 pourraient réagir de façon croisée avec les syncitines. Si les anticorps contre la SRAS-COV-2 reconnaissaient les syncitines humaines, ces protéines seraient bloquées et neutralisées par les anticorps, ce qui leur empêcherait de remplir leur fonction de fusion des cytotrophoblastes fœtaux, qui jouent un rôle clé aussi bien dans le processus d’implantation de l’embryon que dans le développement placentaire. Il se traduirait par l’avortement spontané de l’embryon chez les femmes vaccinées, en empêchant le processus de différenciation et de nidification dans l’utérus, par une action d’inhibition directe des syncitines par les anticorps induits par la vaccination artificielle avec l’un des vaccins expérimentaux contre la Covid-19.

En effet, cette affirmation est étayée par l’observation selon laquelle l’expression de la synctine recombinante dans une grande variété de types de cellules induit la formation de syncites géants et la fusion d’une lignée cellulaire trophoblastique humaine qui exprime la syncitine endogène peut être inhibée par un antisérum anti-syncitine. Un anticorps polyclonal de lapin produit contre un mélange de peptides Env-W a pu inhiber in vitro la fusion cellulaire facilitée par les syncitines humaines 12.

Avec la même logique, nous pourrions espérer que les anticorps dirigés contre la pointe Spike pourraient également reconnaître et neutraliser la Syncitine-2, de sorte que leur activité immunosuppressive pourrait être affectée, laissant l’embryon exposé à la reconnaissance du système immunitaire de la mère, pouvant conduire au rejet immunitaire maternel du fœtus 13.

Il a été démontré que les protéines de l’enveloppe des HERV (HERV-Env), d’une part, déclenchent à la fois l’immunité innée et l’immunité adaptative, provoquant des réactions inflammatoires, cytotoxiques et apoptotiques. D’autre part, elles ont la capacité de prévenir l’activation de la réponse immunitaire, présentant des propriétés immunosuppressives et agissant comme immuno-régulatrices 14. (Fig. 2)

Fig 2

Lorsqu’il existe une similitude aussi élevée avec des motifs de peptides rétroviraux endogènes, le système immunitaire humain peut le détecter comme un antigène distinct et peut déclencher une réaction allergique, comme celles qui se produisent lorsque les haptènes (par exemple la pénicilline) se lient aux protéines de l’hôte 11.

La vaccination contre la COVID-19 pourrait également induire des réponses d’anticorps de type IgE et une hypersensibilité de type retardée par les lymphocytes T, comme on l’a observé chez la souris, qui, après exposition à un vaccin contre le SRAS, leur a provoqué une réaction allergique 15, 16.

Par conséquent, nous savons déjà qu’en raison de la similitude de la protéine Spike du virus SARS-CoV-2 avec les deux protéines humaines, Syncitine-1 et Syncitine-2, il est peu probable que soit obtenu un vaccin sûr contre la COVID-19, sans observer d’effets secondaires allergiques, cytotoxiques et/ou auto-immunes et sans que ces effets affectent tôt ou tard le mécanisme délicat de la reproduction humaine.

Deuxièmement, les vaccins expérimentaux contre la COVID-19 pourraient affecter la fertilité humaine parce que les niveaux d’expression de l’acide ribonucléique messager (ARNm) des syncitines augmentent progressivement depuis le début de la conception, pendant le premier trimestre et jusqu’à la fin de la grossesse 17.

Aussi bien la fusion comme la différenciation des cellules du trophoblaste sont associées à une augmentation concomitante de l’expression de l’ARNm du gène syncytine (HERV-W env) et de la protéine Syncitine. En termes simples, si la quantité de protéines ou d’ARNm du gène Syncitine diminue, on observe des défauts dans la formation du placenta, une mauvaise différenciation du trophoblaste et un dysfonctionnement vasculaire dans le placenta.

Il a été constaté que les taux de protéines et de transcription du gène syncitine sont significativement diminués chez les femmes souffrant d’hypertension induite par la grossesse, y compris les patientes atteintes de prééclampsie et d’hypertension liée à la grossesse 18.

Cliniquement, l’expression diminuée et la localisation anormale de Syincitine-1 et Syncitine-2 ont été trouvées dans la prééclampsie, un désordre de grossesse qui se caractérise par des défauts dans la formation du placenta, la mauvaise différenciation de trophoblaste et le dysfonctionnement vasculaire dans le placenta. Cela signifie que l’expression altérée du gène de la syncitine et l’emplacement cellulaire altéré de son produit protéique peuvent contribuer à l’étiologie de la prééclampsie 19. En d’autres termes, une expression placentaire réduite de la syncitine peut contribuer à des processus de fusion cellulaire altérés pendant la placentogenèse et à une fonction placentaire altérée dans les troubles liés à l’hypertension durant la grossesse  20.

Par ailleurs, la détermination de la Syncytine-1 dans le sperme humain et de son récepteur ASCT-2 dans l’ovocyte humain suggère très probablement un rôle de la Syncytine-1 dans la fusion du sperme et de l’ovocyte pendant la fécondation 21. Le récepteur ASCT-2, mais pas La syncytine-1, est exprimé en ovocytes et le niveau d’ARNm augmente avec l’augmentation de la maturité des ovocytes. Cependant, on ne sait toujours pas comment sont réalisés la fusion des gamètes, les syncitines et leurs récepteurs.

Vaccins contre la COVID-19: une expérience de transgenèse humaine à grande échelle.

Les vaccins ARNm contre la Covid-19 des sociétés Moderna, Pfizer/BioNtech et CureVac contiennent des ARN messagers de la protéine spike, qui sont administrés recouverts de nanoparticules lipidiques avec du polyéthylène glycol afin d’échapper aux mécanismes du corps et de leur permettre d’entrer dans les cellules.

Cette plate-forme de thérapie par ARNs modifiés est totalement nouvelle, c’est une forme expérimentale d’inoculation de gènes étrangers dans le corps humain qui ne peut pas être appelée «vaccination» car il ne s’agit pas d’administrer des agents pathogènes atténués ou inactivés comme de simples antigènes qui stimulent l’immunité. Il s’agit de l’inoculation dans le corps humain de variants de gènes synthétiques injectables, afin qu’ils pénètrent dans les cellules humaines et les fasse produire la protéine spike (S) du virus, ce qui représente une véritable expérience de transgenèse, jamais réalisée auparavant dans l’histoire de l’humanité afin de conférer une immunité contre les maladies infectieuses-contagieuses transmises par l’homme.

Les entreprises de biotechnologie s’efforcent de répéter que les vaccins ARNm n’ont pas la capacité d’entrer dans le noyau pour modifier l’ADN. Ils expliquent que l’ARNm du vaccin ne va coder que la glycoprotéine spike (S) et se limitera à la transcrire dans le cytoplasme cellulaire. Il est à noter que les experts et les conseillers des organisations nationales et internationales responsables de la santé s’abstiennent de mentionner le mécanisme de réglementation épigénétique de l’ARNm. La capacité de réguler directement l’expression des gènes est un mécanisme largement reconnu par la biologie moléculaire: le silence génétique par le biais des acides ribonucléiques, les ARN dits inhibiteurs (ARNi) 22.

L’Assemblée Nobel du Karolinska Institutet de Stockholm, en Suède, a décerné conjointement le prix Nobel de physiologie ou de médecine 2006 aux chercheurs Andrew Fire (Stanford University School of Medicine, Stanford, Californie, Usa) et Craig Mello (University of Massachusetts Medical School, Worchester, Massachusetts, USA) pour leur découverte de l’interférence de l’ARN. Ces scientifiques ont démontré le silence des gènes par l’utilisation d’ARNi à double chaîne 23.

Grâce au mécanisme de défense appelé silence génétique par les ARNi, les vaccins ARNm ont la capacité potentielle de modifier l’ADN humain, induisant ou mettant sous silence différents gènes de notre génome. L’interférence de l’ARN est un mécanisme essentiel pour contrôler le flux d’informations génétiques dans les cellules.

Dans le cas spécifique des syncytines, l’utilisation d’inhibiteurs de l’ARN (siRNA et shRNA), c’est-à-dire par l’utilisation d’oligonucléotides antisens spécifiques au gène syncytine, a déjà démontré que le gène peut être mis sous silence et que l’inhibition de l’expression de la protéine Env-W entraîne une diminution de la fusion et de la différenciation du trophoblaste humain 3.

Des expériences in vivo sur des animaux, des tests de perte de fonction ont été effectués dans l’utérus de moutons, par injection d’oligonucléotides antisens le jour 8 de la grossesse. Les injections de ces oligonucléotides ont bloqué la production de protéines de l’enveloppe du gène ERV dans le trophectoderme des moutons.

Le traitement génique spécifique pour mettre sous silence l’expression du gène d’enveloppe d’ERV dans les moutons, a empêché la différenciation des cellules binucléées géantes de trophoblaste et a mené à la fin de gestation le jour 20, dans tous les moutons qui ont reçu des oligonucléotides antisens 24.

Il convient de noter que les rétrovirus endogènes (ERV) sont abondants dans les génomes des vertébrés et jouent un rôle essentiel dans la reproduction des mammifères, notamment dans la morphogenèse placentaire et dans l’implantation, raison pour laquelle on pourrait s’attendre à un résultat similaire d’inhibition génétique spécifique des syncitines 1 et 2 chez l’homme et chez les primates 25  et éventuellement des deux gènes env. connexes, la syncitine A et la syncitine B, chez les souris  26.  

Les oligonucléotides antisens sont conçus pour moduler le transfert d’informations du gène à la protéine, interférant avec la fonction de l’ARNm ou du pré-ARNm. Pour parvenir à une modulation efficace de l’expression des gènes par des oligonucléotides antisens, on utilise des modifications d’oligonucléotides qui ne favorisent pas la dégradation par ARNasa H de l’ARN cible. Par exemple, ils sont conçus pour inhiber spécifiquement l’expression de l’ARNm du gène de l’enveloppe des HERV, de sorte qu’ils inhibent l’épissure et / ou la traduction de l’ARNm par un mécanisme de blocage stérique, qui est indépendant de l’ARNasa H. Outre les effets de ces oligonucléotides inhibiteurs à court terme, la régulation génétique à long terme peut être obtenue par l’ARN antisens exprimés par voie intracellulaire administré par des vecteurs viraux 27.

Connaissant la haute homologie qui existe entre la syncytine et la protéine Spike du virus SARS-CoV-2, et sachant que les séquences d’oligonucléotides qui font taire le gène humain syncytine ont 100% d’homologie avec les séquences du gène spike introduit dans les vaccins, personne ne peut garantir que les injections d’ARNm contenues dans les vaccins n’affecteront pas l’expression des gènes endogènes humains Syncitine-1 et Sincitine-2.

Ces aspects de sécurité et les effets néfastes des vaccins contre la COVID-19 sur la fertilité humaine ne sont pas évalués dans les études pré-cliniques sur les animaux, ni dans les essais cliniques de phase I, II et III déjà menés avec des volontaires et qui ne sont pas correctement informés de tous les risques liés à la vaccination 28.

Il faut souligner qu’il existe des auteurs qui indiquent que les gènes syncitines sont présents chez l’homme et chez les primates de l’Ancien Monde et diffèrent des gènes env. présents chez les rongeurs 17, 25. À cet égard, les études pré-cliniques d’un des vaccins candidats à l’ARNm n’ont été réalisés que sur des souris et des hamsters et ont été publiés en ligne fin octobre 2020 sans examen par des pairs  29, après avoir commencé les essais cliniques de phase 1 et 2 avec des volontaires.

D’autre part, les clauses de confidentialité qui ont été accordées par les gouvernements aux entreprises qui développent ces vaccins ne nous permettront pas de savoir si les constructions qui composent les vaccins vectorisés codent un gène spike du SRAS-CoV-2 et/ou un ARNi à double chaîne ou à double chaîne résistant aux nucléases. Nous ne pouvons donc pas non plus savoir avec certitude si les vaccins qui introduisent des ARN modifiés ont une fonction ARNi et s’ils peuvent cibler des sites spécifiques tout au long de la transcription de l’ARN d’un gène, dans ce cas, les syncitines humaines, en raison de la forte ressemblance qu’ils partagent dans la séquence.

Après ce qui a été exposé ci-dessus, le résultat de l’inoculation de ces vaccins expérimentaux entraîner la production d’anticorps « avec une efficacité de 95% » mais on ne peut exclure que, comme effet secondaire, ils puissent bloquer la traduction d’un ARN messager codant une protéine humaine normale. Nous savons à l’avance que les oligonucléotides antisens résistants à l’ARNasa H offrent une résistance complète aux nucléases, présentent une bonne capacité de ciblage, une efficacité élevée dans la cellule et présentent une spécificité de séquence30.

Grâce aux outils de biologie moléculaire actuellement disponibles, les entreprises de biotechnologie peuvent apporter des modifications déstabilisatrices aux ARNm, améliorer l’efficacité des ARN inhibiteurs et ainsi activer un mécanisme alternatif par lequel le brin est éliminé, conférant une activité de mise sous silence puissante aux ARNi. Si ces ARN modifiés sont administrés avec les vaccins contre la COVID-19, la population mondiale sera soumise à une nouvelle méthode de thérapie génique expérimentale à grande échelle, afin de déstabiliser l’expression des gènes humains par l’injection de séquences étrangères, avec une résistance possible aux nucléases et avec une capacité démontrée d’exercer un contrôle épigénique.

Les entreprises qui mettent au point ces vaccins n’agissent pas de manière éthique ou responsable

Les entreprises qui mettent au point ces vaccins n’agissent pas de manière éthique ou responsable, parce qu’elles ne poursuivent pas les études de sécurité sur les modèles animaux appropriés, qu’elles ne respectent pas les délais nécessaires pour observer des effets indésirables graves à moyen et à long terme, et qu’elles ne fourniront pas les informations nécessaires qu’elles jugent «confidentielles». En évitant et en improvisant les phases d’expérimentation pré-cliniques et en allant directement de l’avant avec les phases cliniques d’expérimentation I, II et III, les entreprises transfèrent le risque des animaux à l’homme, en utilisant les gens comme modèles de défi animal.

En résumé, nous sommes obligés de dénoncer que si les gouvernements veulent mettre en œuvre une vaccination expérimentale massive et obligatoire dans la population avec des vaccins qui n’ont pas atteint les phases expérimentales et qui sont approuvés par des protocoles «d’urgence», ils sont complices d’éventuels crimes contre l’humanité, parce que ces plates-formes thérapeutiques «nouvelles» comportent des risques implicites et cachés dans leurs conceptions  les mécanismes les plus largement acceptés de mise sous silence des gènes induits par des inhibiteurs de l’ARN, dont les effets sont en pleine connaissance de cause pour la communauté scientifique internationale et sont néanmoins minimisés par l’industrie pharmaceutique, alors qu’ils devraient être évalués avant l’autorisation de mise sur le marché de ces vaccins. 

Les conséquences de l’inoculation de ces gènes étrangers dans la population par les vaccins contre la COVID-19 peuvent s’avérer catastrophiques pour le destin de l’humanité, si l’on tient compte du rôle des protéines de l’enveloppe HERV (syncitines) dans la physiologie humaine et de leurs effets pathogènes potentiels dans divers cancers et troubles auto-immunes tels que la sclérose en plaques  31, 32,la sclérose latérale amyotrophique  33, 34, 35  et le diabète de type 1  36.

Déclaration des conflits d’intérêts

L’auteur et l’éditeur n’ont aucun conflit d’intérêts à déclarer.

Références en bas de la page #proteinespike

https://cienciaysaludnatural.com/las-vacunas-contra-covid-19-podrian-afectar-la-fertilidad/ 

Las vacunas contra covid-19 podrían afectar la fertilidad

Por Roxana Bruno, Bioquímica. PhD en Inmunología.

Asombrosa similitud entre las sincitinas humanas y la proteina espiga del sars-cov-2. Porqué las vacunas contra covid-19 podrían afectar la fertilidad.

English Version

Resumen

Las vacunas contra COVID-19 introducen la proteína de la espiga (S o “Spike”) del virus SARS-CoV-2 como supuesto antígeno para desencadenar la respuesta inmunitaria, la cual comparte alta similitud genética y proteica con dos proteínas humanas, Sincitina-1 y Sincitina-2.

Las sincitinas humanas

Las sincitinas humanas son el producto de expresión de los genes de la envoltura (Env) de retrovirus endógenos humanos (HERV): son proteínas que median la fusión entre las células y tienen propiedades inmunosupresoras.

Las sincitinas se expresan de manera fisiológica durante el embarazo: intervienen en el desarrollo de la placenta, la diferenciación del trofoblasto, el implante del embrión en el útero materno y la inmunosupresión del sistema inmunitario de la madre para impedir el rechazo alogénico del embrión.

Por el parecido entre las sincitinas y la proteína espiga del SARS-CoV-2, los anticuerpos inducidos con cualquiera de las vacunas contra COVID-19 podrían desencadenar una reacción cruzada contra las sincitinas, provocando efectos secundarios alérgicos, citotóxicos y/o autoinmunes que afecten la salud y la reproducción humana.

Las vacunas de ARNm tienen la capacidad potencial de modificar el ADN humano

Las vacunas de ARNm tienen la capacidad potencial de modificar el ADN humano por el mecanismo de silenciamiento de genes mediado por los ARN de interferencia. Mediante el uso de oligonucleótidos antisentido inhibidores, se pudo silenciar el gen sincitina. Cuando el ARNm del gen o la cantidad de proteína sincitina disminuyen, se producen defectos graves en la placenta, mala diferenciación del trofoblasto humano y disfunción vascular placentaria, lo que conduce a la pérdida de la gestación.

Ética de los Fabricantes de estas Vacunas

Las empresas que desarrollan las vacunas contra COVID-19 no están actuando de manera ética ni responsable, porque no realizan los estudios de seguridad en los modelos animales adecuados, no están respetando los tiempos necesarios para detectar efectos adversos a mediano y largo plazo y además, no van a proporcionar la información acerca  de la verdadera composición, la que consideran “confidencial”.

Los voluntarios no están siendo debidamente informados de todos los riesgos que conlleva la vacunación. Al adelantar y acortar las fases experimentales las empresas están trasladando el riesgo de los animales a los seres humanos, usando a las personas como modelos de desafío animal. 

Las consecuencias de inocular genes extraños con las vacunas contra COVID-19 pueden resultar catastróficas para el destino de la humanidad, si se tiene en cuenta papel de las proteínas de envoltura HERV (sincitinas) en la fisiología humana y sus posibles efectos patogénicos en varios tipos de cánceres y de trastornos autoinmunes.

La asombrosa similitud entre proteínas retrovirales humanas endógenas y la proteína Espiga del SARS-COV-2.

Diversas voces cualificadas de investigadores científicos y médicos, están advirtiendo a la comunidad internacional del peligro que entrañan las vacunas contra COVID-19 y están solicitando a las autoridades que se detengan de inmediato los ensayos clínicos de fase III de las vacunas que contienen ARNm de la proteína de la espiga (S o “Spike”) del virus SARS-CoV-2 1, 2 .

Una de las razones de este pedido urgente se basa en que la proteína S, contra la cual los fabricantes de vacunas compiten para desarrollar en una vacuna, guarda una gran similitud genética y proteica (es decir, es altamente homóloga en la secuencia de los nucléotidos y de los aminoácidos) con dos proteínas humanas codificadas por genes localizados en los cromosomas 7 y 6, las llamadas Sincitina-1 y Sincitina- 2, respectivamente. (Figura 1)

Figura 1: La glicoproteína espiga del SARS-CoV-2 comparte una gran similitud proteica en la secuencia de aminoácidos con la proteína humana Sincitina-1.

La Sincitina- 1 es la proteína de la envoltura del retrovirus W humano endógeno (HERV-W), cuya función es necesaria durante el embarazo para permitir el desarrollo de la placenta y la diferenciación del trofoblasto 3, debido a que interviene en la fusión de las células placentarias y permite el implante del embrión en el útero materno 4.

La Sincitina- 2 es la proteína de la envoltura de otro miembro de la familia HERV (HERV-FRD) y también está altamente expresada en la placenta humana 5. Aunque ambas sincitinas 1 y 2 son proteínas que median la fusión célula-célula de los citotrofoblastos para permitir la formación de la capa multinucleada del sincitiotrofoblasto durante el desarrollo placentario, la Sincitina- 2 (pero no la Sincitina – 1) posee además, una actividad inmunosupresora con la que consigue hacer invisible al feto ante el sistema inmune de la madre, con lo cual se impide el rechazo alogénico, por ser el embrión un ser humano único e irrepetible y genéticamente distinto a la madre 6.

La similitud que existe entre la estructura de las sincitinas y la proteína S del virus SARS-Cov-2 es realmente asombrosa. La proteína de la sincitinas maduras (proteína de la envoltura, Env, de los retrovirus endógenos humanos, HERV) consiste en un trímero de heterodímeros de dos subunidades, S1 y S2, unidos por un enlace disulfuro lábil entre las dos cadenas, que se escinde por Furina luego de que se produce la unión de S1 al receptor 7, 8, 9

La estructura de las sincitinas es la misma que se describió para la proteína S de SARS-CoV-2. La subunidad S1 de la espiga se une al receptor y a continuación, la separación entre ambas – el corte realizado por la enzima Furina de las subunidades S1 y S2- permite la entrada del virus a las células10.

Curiosamente, el virus SARS-CoV-2 también presenta secuencias idénticas a las sincitinas que le confieren actividad inmunosupresora 11, con la que el virus consigue hacerse “invisible” al sistema inmune de la persona infectada.

¿Porqué las vacunas contra COVID-19 podrían afectar la fertilidad humana?

En primer lugar, las vacunas experimentales contra COVID-19 podrían afectar la fertilidad humana debido a la elevada similitud entre las sincitinas y la proteína de la espiga de SARS-CoV-2 11.

Aún no sabemos si los anticuerpos que se generen por acción de la vacunación contra COVID-19 podrían llegar a reaccionar de manera cruzada con las sincitinas. Si los anticuerpos contra SARS-COV-2 reconocen a las sincitinas humanas, estas proteínas se verían bloqueadas y serían neutralizadas por los anticuerpos, con lo cual estarían inhabilitadas para realizar su función de fusionar los citotrofoblastos fetales, que juegan un papel clave tanto en el proceso de implantación del embrión como en el desarrollo placentario. El resultado sería el aborto espontáneo del embrión en las mujeres vacunadas, al quedar impedido el proceso de diferenciación y de anidación en el útero materno, por una acción de inhibición directa de las sincitinas por los anticuerpos inducidos por medio de la inmunización artificial con cualquiera de las vacunas experimentales contra COVID-19.

De hecho, esta afirmación está apoyada en la observación de que la expresión de sincitina recombinante en una amplia variedad de tipos de células induce la formación de sincitios gigantes y la fusión de una línea celular trofoblástica humana que expresa sincitina endógena se puede inhibir mediante un antisuero anti-sincitina. Un anticuerpo policlonal de conejo producido contra una mezcla de péptidos Env-W fue capaz de inhibir in vitro la fusión celular mediada por las sincitinas humanas 12.

Con idéntica lógica podríamos esperar que los anticuerpos dirigidos contra la espiga también  podrían reconocer de forma cruzada y neutralizar a la Sincitina- 2, con lo cual su actividad inmunosupresora podría verse afectada, dejando al embrión expuesto al reconocimiento del sistema inmunitario de la madre, pudiendo conducir al rechazo inmune materno del feto 13.

Se ha demostrado que las proteínas de la envoltura de los HERV (HERV-Env), por un lado, desencadenan tanto la inmunidad innata como la adaptativa, provocando reacciones inflamatorias, citotóxicas y apoptóticas. Por otro lado, tienen capacidad para prevenir la activación de la respuesta inmunitaria, presentando propiedades inmunosupresoras y actuando como inmunorreguladoras 14. (Figura 2)

Figura 2

Cuando existe una similitud tan elevada con motivos de péptidos retrovirales endógenos, el sistema inmunitario humano puede detectarlo como un antígeno distinto y puede desencadenar una respuesta alérgica, como las que ocurren cuando los haptenos (por ejemplo, la penicilina) se unen a las proteínas del huésped 11.

Con la vacunación contra COVID-19, también se podrían inducir respuestas de anticuerpos de tipo IgE y una hipersensibilidad de tipo retardada por parte de las células T, tal como se observó en ratones, que tras la exposición a una vacuna contra el SARS, les provocó una respuesta alérgica 15, 16.

Por lo tanto, ya sabemos que debido al parecido de la proteína de la espiga del virus SARS-CoV-2 con las dos proteínas humanas, Sincitina- 1 y Sincitina- 2, es poco probable  que se obtenga una vacuna contra COVID-19 segura, sin observar efectos secundarios alérgicos, citotóxicos y/o autoinmunes y sin que estos efectos afecten tarde o temprano el delicado mecanismo de la reproducción humana.

En segundo lugar, las vacunas experimentales contra COVID-19 podrían afectar la fertilidad humana porque los niveles de la expresión del ácido ribonucleico mensajero (ARNm) de las sincitinas aumentan progresivamente desde el comienzo de la concepción, durante el primer trimestre y hasta el término del embarazo 17.

Tanto la fusión como la diferenciación de las células del trofoblasto se asocian con un aumento concomitante en la expresión del ARNm del gen sincitina (HERV-W env) y de la proteína Sincitina. En términos sencillos, si la cantidad de proteína o del ARNm del gen Sincitina disminuyen, se observan defectos en la formación de la placenta, mala diferenciación del trofoblasto y disfunción vascular en la placenta.  

Se ha comprobado que la proteína y los niveles de transcripción del gen sincitina están significativamente disminuidos en las placentas de mujeres con hipertensión inducida por el embarazo, incluidas las pacientes con preeclampsia e hipertensión gestacional 18.

Clínicamente, se encontró expresión disminuida y localización anormal de Sincitina-1 y Sincitina- 2 en la preeclampsia, un trastorno del embarazo que se caracteriza por defectos en la formación de la placenta, mala diferenciación del trofoblasto y disfunción vascular en la placenta. Esto significa que la expresión alterada del gen de la sincitina y la ubicación celular alterada de su producto proteico pueden contribuir a la etiología de la preeclampsia 19. En otras palabras, una expresión placentaria reducida de sincitina puede contribuir a procesos de fusión celular alterados durante la placentogénesis y a una función placentaria alterada en los trastornos hipertensivos del embarazo 20.

Por otra parte, la determinación de la Sincitina-1 en el esperma humano y su receptor  ASCT-2 en el ovocito humano sugiere muy probablemente un papel de la Sincitina- 1 en la fusión del esperma y el ovocito durante la fertilización 21. El receptor ASCT-2, pero no Sincitina-1, se expresa en ovocitos y el nivel de ARNm aumenta con el aumento de la madurez de los ovocitos. Sin embargo, aún no está claro cómo llevan a cabo la fusión de gametos las sincitinas y sus receptores.

Vacunas contra COVID-19: Un experimento de transgénesis humana a gran escala. 

Las vacunas de ARNm contra COVID-19 de las empresas Moderna, Pfizer/BioNtech, y CureVac contienen ARN mensajeros de la proteína espiga, que se administran recubiertos con nanopartículas lipídicas con polietilenglicol con el fin de evadir los mecanismos del cuerpo y permitirles ingresar en las células.

Esta plataforma de terapia con ARNs modificados es totalmente nueva, es una forma experimental de inoculación de genes extraños en el cuerpo humano que no puede llamarse “vacunación” ya que no se trata de administrar patógenos atenuados o inactivados como simples antígenos que estimulen la inmunidad. Se trata de la inoculación en el cuerpo humano variantes de genes sintéticos inyectables, para que penetren en las células humanas y las haga producir la proteína espiga (S) del virus, lo cual representa un verdadero experimento de transgénesis, nunca antes realizado en la historia de la humanidad con el fin de conferir inmunidad contra enfermedades infecto-contagiosas de transmisión humana.

Las empresas de biotecnología se esfuerzan en repetir el hecho de que las vacunas ARNm no tienen la capacidad de ingresar al núcleo para modificar el ADN. Explican que el ARNm de la vacuna tan sólo va a codificar la glicoproteína espiga (S) y se va limitar a transcribirla en el citoplasma celular. Llama la atención que expertos y asesores de las organizaciones nacionales e internacionales responsables de la salud, se abstengan de mencionar el mecanismo de regulación epigenética que tiene el ARNm. La capacidad de regular directamente la expresión de los genes es un mecanismo ampliamente reconocido por la biología molecular: el silenciamiento génico mediado por ácidos ribonucleicos, los llamados ARN inhibitorios (ARNi) 22.

La Asamblea Nobel del Karolinska Institutet de Estocolmo, Suecia, otorgó el Premio Nobel de Fisiología o Medicina de 2006 conjuntamente a los investigadores Andrew Fire (Stanford University School of Medicine, Stanford, California, USA) y Craig Mello (University of Massachusetts Medical School, Worchester, Massachusetts, USA) por su descubrimiento de la interferencia de ARN. Estos científicos demostraron el silenciamiento de genes por medio del uso de ARNi de doble cadena 23.

Mediante el mecanismo de silenciamiento génico mediado por los ARNi, las vacunas de ARNm tienen la capacidad potencial de modificar el ADN humano, induciendo o silenciando distintos genes de nuestro genoma. La interferencia de ARN es un mecanismo fundamental para controlar el flujo de información genética en las células.

En el caso específico de las sincitinas, mediante el uso de inhibidores del ARN (siRNA y shRNA) es decir, mediante el uso de oligonucleótidos antisentido específicos del gen sincitina, ya se demostró que se puede silenciar el gen y que la inhibición de la expresión de la proteína Env-W conduce a una disminución de la fusión y de la diferenciación del trofoblasto humano 3.

Mediante experimentos in vivo en animales, se llevaron a cabo pruebas de pérdida de función en el útero de ovejas, mediante la inyección de oligonucleótidos antisentido en el día 8 del embarazo. Las inyecciones de estos oligonucleótidos bloquearon la producción de proteína de la envoltura del gen ERV en el trofoectodermo de las ovejas.

El tratamiento génico específico para silenciar la expresión del gen envoltura del ERV en las ovejas, inhibió la diferenciación de las células binucleadas gigantes del trofoblasto y condujo a la pérdida de la gestación el día 20, en todas las ovejas que recibieron oligonucleótidos antisentido 24.

Cabe señalar que los retrovirus endógenos (ERV) son abundantes en los genomas de los vertebrados y desempeñan un papel fundamental en la reproducción de los mamíferos, en particular en la morfogénesis placentaria y en la implantación, razón por la cual,  se podría esperar un resultado similar de inhibición génica específica de las sincitinas 1 y 2 en seres humanos y en primates 25 y posiblemente de los dos genes env relacionados, la sincitina A y sincitina B, en ratones 26.  

Los oligonucleótidos antisentido se diseñan para modular la transferencia de información del gen a la proteína, interfiriendo con la función del ARNm o del pre-ARNm. Para lograr una modulación eficaz de la expresión génica mediante oligonucleótidos antisentido, se utilizan modificaciones de oligonucleótidos que no promuevan la degradación por ARNasa H del ARN diana. Por ejemplo, se diseñan para inhibir específicamente la expresión de ARNm del gen de la envoltura de los HERV, de manera que inhiben el empalme y / o la traducción del ARNm mediante un mecanismo de bloqueo estérico, que es independiente de la ARNasa H. Además de los efectos de estos oligonucleótidos inhibidores a corto plazo, la regulación génica a largo plazo se puede lograr mediante ARN antisentido expresados ​​intracelularmente administrados por vectores virales 27.

Conociendo la alta homología que existe entre sincitina y la proteína de la espiga del virus SARS-CoV-2, y sabiendo que las secuencias de oligonucleótidos que silencian el gen humano sincitina tienen 100% de homología con las secuencias del gen de la espiga introducido en las vacunas, nadie puede garantizar que las inyecciones de ARNm contenidos en las vacunas no acabarán afectando la expresión de los genes endógenos humanos Sincitina- 1 y Sincitina- 2. 

Estos aspectos de seguridad y efectos adversos de las vacunas contra COVID-19 en la fertilidad humana no están siendo evaluados en los ensayos pre-clínicos en animales, ni en los ensayos clínicos de fase I, II y III que ya se están llevando adelante con voluntarios y que no son debidamente informados de todos los riesgos que conlleva la vacunación 28.

Es importante destacar que hay autores que señalan que los genes sincitina están  presentes en los seres humanos y en primates del Viejo Mundo y difieren de los genes env que están presentes en roedores 17, 25. En este sentido, los ensayos pre-clínicos de una de las vacunas candidatas de ARNm se realizaron sólo en ratones y hámsters y fueron publicados online a fines de octubre de 2020 sin revisión por pares 29, después de haber iniciado los ensayos clínicos de fase 1 y 2 con voluntarios.

Por otra parte, las cláusulas de confidencialidad que han sido concedidas por los gobiernos a las empresas que desarrollan estas vacunas no nos permitirán saber si las construcciones que componen las vacunas vectorizadas codifican un gen de la espiga del SARS-CoV-2 y/o un ARNi de simple o de doble cadena con resistencia a las nucleasas. Por lo tanto tampoco podemos saber con certeza si las vacunas que introducen ARN modificados tienen función de ARNi y si pueden dirigirse contra sitios específicos a lo largo de la transcripción de ARN de un gen, en este caso, las sincitinas humanas, por la alta similitud que comparten en la secuencia. 

Por todo lo expuesto, el resultado de la inoculación de estas vacunas experimentales puede terminar conduciendo a producir anticuerpos “con un 95% de efectividad” pero no se puede descartar que, como efecto secundario, puedan bloquear la traducción de un ARN mensajero que codifica una proteína humana normal. Sabemos de antemano que los oligonucleótidos antisentido resistentes a la ARNasa H proporcionan una resistencia completa a las nucleasas, exhiben una buena capacidad de focalización, alta eficacia en la célula y presentan especificidad de secuencia 30.

Con las herramientas de biología molecular disponibles en la actualidad, las empresas de biotecnología pueden introducir modificaciones desestabilizadoras en los ARNm, pueden mejorar la eficacia de los ARN inhibidores y con ello pueden activar un mecanismo alternativo a través del cual se elimina la hebra sentido, otorgando una potente actividad silenciadora a los ARNi. Si estos ARN modificados se administran con las vacunas contra COVID-19, se estará sometiendo a la población mundial a un método nuevo y soslayado  de terapia génica experimental a gran escala, con el fin de desestabilizar la expresión de genes humanos mediante la inyección de secuencias extrañas, con posible resistencia a las nucleasas y con capacidad demostrada de ejercer control epigénico.

Las empresas que desarrollan estas vacunas no están actuando de manera ética ni responsable

Las empresas que desarrollan estas vacunas no están actuando de manera ética ni responsable, porque no llevan adelante los estudios de seguridad en los modelos animales adecuados, ni están respetando los tiempos necesarios para observar efectos adversos severos a mediano y largo plazo, ni van a proporcionar la información necesaria que consideran “confidencial”. Evitando e improvisando las fases de experimentación pre-clínicas y avanzando directamente con las fases clínicas experimentación I, II y III, las empresas están trasladando el riesgo de los animales a los seres humanos, usando a las personas como modelos de desafío animal. 

En síntesis, nos vemos obligados a denunciar que si los gobiernos quieren implementar una vacunación experimental masiva y obligatoria en la población con vacunas que no han cumplido las fases experimentales y que son aprobadas con protocolos “de emergencia”, están siendo cómplices de posibles delitos de contra la humanidad, debido a que estas plataformas terapéuticas “novedosas” encierran riesgos implícitos y ocultos en sus diseños los mecanismos más ampliamente aceptados de silenciamiento de genes inducidos mediante ARN inhibidores, cuyos efectos son de pleno conocimiento para la comunidad científica internacional y sin embargo están siendo minimizados por las farmacéuticas, cuando deberían ser evaluados antes de la autorización comercial de estas vacunas. 

Las consecuencias de inocular estos genes extraños en la población con las vacunas contra COVID-19 pueden resultar catastróficas para el destino de la humanidad, si se tiene en cuenta papel de las proteínas de envoltura HERV (sincitinas) en la fisiología humana y sus posibles efectos patogénicos en varios tipos de cánceres y  de trastornos autoinmunes como la Esclerosis Múltiple 31, 32, la Esclerosis Lateral Amiotrófica 33, 34, 35  y la Diabetes tipo 1 36.

Declaración de conflictos de interés

La autora y el editor no tienen conflictos de intereses para declarar. 


 

Referencias / References / Références

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Tambien ver Biólogos por la verdad: http://www.biologosporlaverdad.es/spikeysincitinas.pdf

 

 

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